Nos convictions

Syndicatho

Bâtisseurs d'un monde

Avertissement : les passages en lien avec la religion (généralement surlignés en vert), dans notre blogue ou sur tel ou tel document émanant de Syndicatho, ne sont là qu’à titre explicatif : pour faire comprendre la cohérence de la doctrine ou sa logique.
Ils ne sont en aucun cas destinés à faire du prosélytisme, à nier l’absolue liberté religieuse de toute personne (ce qui serait, en outre, contraire à la DSÉ elle-même).

Syndicatho a pour objet, comme tout syndicat, de défendre les intérêts des salariés, des ex-salariés et de ceux qui aspirent à (re)devenir salariés (chômeurs, étudiants,…)

Les intérêts de ces personnes ne sont pas seulement en cause sur le lieu de travail (ex : intérêt du travail, responsabilités, qualité des relations sociales, pénibilité, exposition au danger, au stress, au harcèlement, etc.), mais dans tout le reste de leur vie (ex : transport confortable, sécurisé et court entre le domicile et le lieu de travail, logement confortable et spacieux, vie associative diversifiée, etc.)

Nous sommes convaincus que pour assurer efficacement cette défense, il faut s’appuyer sur une doctrine (c’est à dire un ensemble de principes et de valeurs) sociale solide.

Nous croyons qu’une société qui respecterait les principes de la Doctrine Sociale de l’Église disposerait du “bien commun”, permettant à chacun de ses groupes (notamment, celui des salariés) et chacun de ses membres “d’atteindre sa perfection d’une façon plus complète et plus aisée”.

Nous pensons, notamment, que le non-respect du principe de base de la DSÉ – principe de la dignité (et donc de la liberté) de la personne humaine – explique au moins 95% des troubles que connaît la société.

Nous croyons que les hommes, depuis la nuit des temps, recherchent la liberté, avec un succès très modeste ;

  • le projet divin est un projet de libération de l’humanité (ça tombe bien !) ;
  • la modestie du progrès des hommes dans la conquête de leur liberté, résulte de leur manque de foi (c’est à dire de confiance) en Dieu : plutôt que de se tourner vers le seul Libérateur (ou Sauveur, Rédempteur, Racheteur, qui sont des synonymes), Dieu, ils se tournent vers des idoles (argent, drogue, sexe, jeu, télévision, violence, pouvoir politique, etc.) qui les asservissent
  • notre seule façon de nous libérer est de nous convertir (changer de direction), de nous détourner des idoles précitées, de rompre les chaînes que constituent la haine, l’orgueil ou la jalousie, pour nous tourner vers Dieu en respectant son commandement (au sens de recommandation) d’amour du prochain.

Nous croyons que les principes de la DSÉ, en particulier le premier (dignité de toute personne humaine) doivent orienter les décisions humaines, aussi bien à titre

  • individuel (pour que nos relations interpersonnelles soient respectueuses d’autrui et de nous-même),
  • collectif (pour que l’organisation collective de la société respecte chaque personne).

Nous croyons, enfin, que chaque personne humaine, quelles que soient ses convictions religieuses, peut adhérer à la DSÉ.